diumenge, 13 de desembre del 2009

La Comarca de la Selva, una reflexió

El document que segueix va ser fet com una reflexió sobre el futur de la Comarca de la Selva després d'haver mantingut una reunió amb els socis francesos del Projecte RITA executat pel Consell Comarcal de la Selva.


Comarca est, en Catalogne, la démarcation territoriale au dessus de la municipalité. Des représentants élus au niveau municipal sont détachés au Conseil Comarcal en proportion au nombre de voix qui ont été attribués à chaque parti politique aux élections municipales. Ce Conseil Comarcal est, surtout, un organe de gestion des services qui ne peuvent pas être gérés au niveau des communes: gestion des impôts locaux, des contreventions, traitement de déchets, etc.

Historique

La Selva est une des comarques historiques de la «Vieille Catalogne». Conquise aux arabes au IXe siècle lorsque les habitants de la ville de Girona, avec le vicomte Rostany délivrèrent la ville et les lieux autour d’elle à l’Empéreur Charles (Charlemagne). Rostany fut nommé premier Compte de Girona et fut chargé par l’Empéreur de consolider la nouvelle frontière sud qui s’établit à la Tordera pendant 15 années. Le même compte Rostany commanda une partie des armées de Charlemagne qui conquirent la ville de Barcelone la Pâque de l’année 801. A ce moment-là, la frontière fut fixée au Llobregat et les terres gagnées furent partagées entre les cinq comptés qui devraient constituer la vieille Catalogne : Barcelona, Girona, Empúries, Rosselló et Urgell-Cerdanya.

Après plusieurs années de luttes entre les nobles de la Septimanie, les comtés de Girona et Barcelona furent attribués en 865 à Bernat II de Gòtia (ou de Gothie) avec ceux de Narbonne et du Roussillon. Il se révolta en 877 contre le roi Charles le Chauve, en compagnie d'Hugues l'abbé et de Bernard Plantevelue. En 878, le pape Jean VIII condamna cette révolte au Concile de Troyes et, finalement, Bernat fut dépossédé de tous ses domaines et les comtés de Girona et de Barcelona furent cédés à Guifré el Pilós qui déjà était comte d’Urgell-Cerdanya. Ces trois comtés resteraient ensemble pour toujours. Aussi, à la mort du Comte Guifré, les bénéfices se firent héréditaires ce qui établit la naissance politique de la Catalogne, ultérieurement, partie fondamentale de la Couronne d’Aragon.

La Selva ne fut jamais une démarcation politique mais sa personnalité historique est bien établie surtout dans les noms des villes et dans maintes documents spécialement à caractère religieux. Les communes qui constituent la Selva ont une origine millénaire, parfois déjà existantes dans l’époque romaine, parfois générées pendant le Moyen Age par partition de certaines paroisses ou par sécession d’autres communes préexistantes (par exemple, Lloret de Mar fut créée par scission de la commune de Maçanet de la Selva il y a plus de mille années). Tout le territoire de la Selva et parsemé de châteaux, d’églises romaines ou gothiques, couvents, etc. Il s’agit de constructions plutôt simples mais qui ont survécu le passage des années.

Le nom de la Selva fût utilisé pour définir les terres au sud de la ville de Girona jusqu’à la Tordera et entre les montagnes d’Osona et la mer. Lors de l’établissement de la Generalitat de Catalunya, en 1931, la Selva fut constituée en comarca mais fut démontée par le régime de Franco en 1939. Après le rétablissement de la démocratie en Espagne et la récupération des institutions catalanes, la Comarca de la Selva fut constituée en 1987 par la réunion de 26 communes qui s’étendent sur un millier de kilomètres carrés entre les montagnes du Montseny (1707 m) et de la Serralada Transversal (Puigsacalm, 1513 m), jusqu’aux côtes de la Méditerranée qui, depuis une centaine d’années, reçoivent le nom de Costa Brava. Ce pays groupe une population totale de 160,000 habitants avec une densité de population de 160 habitants/km2 typique des zones rurales, une population qui a presque doublé dans les dernières 20 années et se concentre surtout dans les communes côtières de Blanes et Lloret de Mar chacune avec plus de 35,000 habitants. Par contre, il y a cinq communes avec moins de 1,000 habitants (Brunyola, Massanes, Osor, Sant Feliu de Buixalleu i Susqueda) .

Géographie

Située à 70 km de Barcelona et entre 20 et 40 km de Girona, la Selva est très bien communiquée par deux autoroutes à péage (AP7 et C32) et deux lignes ferrées (voie de Mataró et voie de Granollers), ce qui fait que, souvent, cette comarque tient le rôle d’une banlieue lointaine de Barcelone. La Selva a aussi un important port de pêche et de loisir à Blanes et un aéroport international (Girona) desservi, surtout, par des lignes aériennes à bas coût. Autres voies de communication qui traversent la Selva seraient la nouvelle ligne de TGV qui, dans le proche avenir, unira le midi de la France avec Barcelona et le reste de l’Espagne, un oléoducte, un gaséoducte, des lignes électriques à très haute tension, des lignes à fibre optique, etc.

La capitale de la Selva se trouve à Santa Coloma de Farners, au pied des montagnes, même si, pour certains services, d’autres communes comme Lloret de Mar (avec une Station de Police et Registre de la Propriété) ou Blanes (avec Station de Police, Cour de Justice et Hôpital Comarcal) souvent jouent un rôle de capitale. En fait, la Selva est souvent divisée en trois sous comarques: la Selva Marítima (les villes côtières avec un fort penchant pour le tourisme de plage), la Plana de la Selva (les villes situées dans la plaine avec une forte activité industrielle et agricole) et le Montseny-Guilleries (des villes situées dans la zone montagneuse qui ont un fort penchant touristique local, activités forestières et exploitation des ressources en eau).

Ressources

Pour comprendre les schémas de développement économique de la Selva il faut tenir compte de la division géographique du paragraphe précédent.

Le Tourisme de soleil et plage :

Les quelques 40 km de côte qui s’étalent entre Blanes et Tossa de Mar, constituent le paradigme de la Costa Brava: des montagnes couvertes de pins parasol, chênes-liège et arbousiers qui se penchent sur la mer Méditerranée, avec des plages et calanques à sable dorée et une eau d’azur éblouissant en été. La plaine côtière, occupée par les trois villes (Blanes, Lloret de Mar et Tossa de Mar) ont subi depuis longtemps un développement urbanistique exaggéré bien en dessus de sa capacité, avec des constructions à grande étendue verticale et qui ont fait disparaître les jolies maisons des pécheurs et des «indians», nouveaux riches qui seraient venus le XIXe siècle de l’Amérique à la fin de la colonie pour s’y installer, mais aussi des églises millénaires, des remparts ou des châteaux qui, sauf à Tossa de Mar, ont perdu leur présence.

L’espace compris entre les sommets boisés de la chaîne côtière et la mer a été depuis 50 années occupé par un grand nombre d’hôtels et, surtout de ce qu’on appelle urbanitzacions, normalement des grandes pièces de forêt partagées en parcelles qui peuvent aller des 400 aux 1,200 m2 dans lesquelles se construisent des chalets sans aucune régularité et qui, souvent ont souvit une notable évolution de style, qualité et type de population. Plusieures de ces urbanitzacions, spécialement celles qui se trouvent à l’arrière pays de la chaîne côtière dans les municipalités de la Plana de la Selva (Vidreres, Maçanet de la Selva, Fogars de la Selva, Hostalric, Sils, Riudarenes, Vilobí d’Onyar, Caldes de Malavella, Riudellots de la Selva, etc.), furent acquises dans les années 60 par des gents très modestes habitant la banlieue industrielle de Barcelone mais d’origine rural émigrés des autres régions espagnoles. Souvent ces gents n’avait pas le pouvoir économique suffisant pour construire des maisons et se contentaient avec des petites constructions (le garage) ou même avec des caravanes, voir des tentes en été.

Certaines de ces urbanitzacions, surtout les plus proches à la mer, acquirent un status «de luxe» mais de façon très irrégulière et souvent mélangées avec d’autres plus modestes. Encore aujourd’hui il est possible de trouver des caravanes ou des modules convertis en maisonnettes illégales mais qui se vendent à des prix considérables à cause de leur localisation proche de la mer. Ce phénomène à été causé par l’extrême densité de population dans les zones urbaines à caractère industriel autour de Barcelone, le prix incroyablement bas des terres couvertes de forêts et la connivence des maires dans l’époque franquiste et après. Avec l’arrivée des premiers touristes (français surtout au début, après anglais et allemands et récemment, russes, ukrainiens, etc.) ces urbanitzacions ont aussi reçu une certaine population de gents à origine étrangère.

Même si le tourisme comme activité économique a été fondamentale pour le développement de la Selva Marítima pendant les dernières 50 années, dans les derniers temps l’activité la plus importante a été le bâtiment. D’énormes étendues de terres agricoles ou forestières ont été dégagées et urbanisées ce qui a produit l’arrivage d’un grand nombre de personnes, en grande partie étrangers (du Maghreb, de l’Amérique latine mais aussi de l’Europe de l’est) pour occuper des postes dans le bâtiment ou dans l’hôtellerie (occupations interchangeables) ainsi que dans des métiers complémentaires (vente/achat de maisons ou appartements).

Le Tourisme de montagne :

La zone montagneuse de la Selva qui s’étend entre le Montseny et les Guilleries, une région avec une longue légende de bandoliers et révoltés qui était devenue presque déshabitée sauf dans quelques villes privilégiées. Depuis le tombant des siècles XIXe a XXe, les eaux (fraîches ou thermales) ont attiré un tourisme local à plus haute qualité et puissance économique même si très minoritaire à des villes comme Sant Hilari Sacalm, Arbúcies, Amer, Anglès, Breda ou même Santa Coloma de Farners qui ont subit dans le 20e siècle un développement notable qui se maintient encore aujourd’hui.

Les ressources naturelles :

Selon le censément de l’année 1999, La Selva était couverte par la forêt sur un 75% de son étendue, 17% par de terres cultivées et 3% par des pâtures. Les autres usages, notamment les zones urbanisées, étaient compris dans un 5% de la superficie. Il est vrai que la plus grande partie du territoire est couverte de forêts et cultures comme correspond à une région éminemment rurale. Ce-là pourrait faire croire que les ressources naturelles sont la plus grande source de revenue. Rien de plus loin. L’année 2001, la population active se partageait dans les divers secteurs productifs selon : Agriculture 3.4% ; Bâtiment 12,9% ; Industrie 27.3% ; et Services 56.4%.

A présent, l’agriculture est limitée surtout à l’élévage de vaches laitières et, en mineur proportion, l’élevage de bestiaux pour viande (vaches, porcs, etc.). En vue de la Politique Agricole Commune européenne, chaque année il y a un nombre important d’exploitations qui cessent dans leur activité. Il est vrai que les quotas et les terres de celles qui disparaissent sont normalement absorbés par d’autres exploitations voisines, ce qui fait que la réduction dans le nombre d’exploitations n’ait aucune descente dans la production laitière et, par tant, dans le revenue des activités agricoles. Faut-il encore remarquer que le système d’exploitation d’élévage se fait dans des conditions environnementales peu respectueuses avec l’environnement (les déchets liquides et solides génèrent des pollutions par nitrates entre les plus hautes d’Europe) et aussi avec les animaux (la plupart des exploitations sont dans des enceintes fermées ou les animaux sont soumis à une stabulation continuée).

Les activités forestières ont une très petite participation dans le revenu de la comarque. Si l’on considère les plantations d’arbres d’ornement ou de rivière, la reste des activités se limite à la coupe des bois qui furent plantés il y a cent ans quand une bonne partie des terres qui étaient couvertes par des vignobles furent réutilisées pour la plantation de pins parasol ou chêne-liège. Ces bois furent peu à peu transformées, en bonne partie, en chênaies sauvages, avec une très grande présence de sous-bois, propice aux incendies qui se produisent avec une trop grande fréquence. L’exploitation forestière finit, dans la plus grande partie, en bois de basse qualité utilisé pour la production de palets ou estaques pour l’agriculture. Il faudrait dire que la propriété des bois est retenue par des gents très âgés car ces terres n’ont aucune valeur pour les jeunes générations qui ont quitté la campagne depuis longtemps. La plupart des actions dans la forêt se font avec le soutien économique des administrations. Par ailleurs, l’utilisation de biomasse boiseuse pour la production d’énergie est souvent mentionnée mais n’arrive pas à s’établir.

Les sources d’eau seraient une autre ressource naturelle importante à la Selva. Aux sources à origine volcanique de Caldes de Malavella qui ont eu un très grand succès dans le passé (c’est là qui a été produite l’eau dénommée Vichy Catalan, un des groupes les plus importants dans le secteur) en tant que boisson médicinale et aussi pour usage thérapeutique (bains hydrothermales). Cependant, dans les dernières décennies, des eaux non gazeuses ont été exploitées dans toute la zone autour du Massif du Montseny: Sant Hilari Sacalm, Arbúcies, Riells, Osor, Susqueda, Viladrau (cette dernière commune dans la comarca d’Osona) sont les communes dans lesquelles la production d’eau embouteillée est la plus importante. Aussi, les eaux ont induit, depuis de longues années, un tourisme de classe, local, qui aurait eu son époque au début du 20e siècle.

Les entreprises du secteur qui se sont installés dans cette région sont devenues très importantes, voire multinationales de l’alimentation, (Nestlé, Coca-Cola, etc.) et la production d’eau embouteillée est entre les grandes de l’Europe. Il faut aussi noter que la plupart des sources non exploitées commercialement sont interdites à la consommation à cause des pollutions, notamment par les nitrates.

Autres ressources naturelles qui sont exploitées (pierre, sable, etc.) ont un rôle mineur dans l’économie de la région mais il ne faut pas oublier le tourisme de sentier ainsi que la recherche de champignons ou de pignons, qui ont un intérêt non négligeable.

L’industrie :

Une partie de la Selva se trouve au long des deux fleuves qui la traversent: la Tordera et le Ter. Ce dernier naît dans les Pyrénées orientales et fait un grand parcours avant d’entrer dans la Selva par des gorges serrées entre le massif du Montseny et la chaîne transversale. La Tordera naît sur le massif du Montseny et la chaîne littorale, se déchargeant à la mer a côté de Blanes. Tous les deux cours d’eau ont traditionnellement été utilisés comme source d’eau pour des industries diverses. Riells, Breda, Sant Feliu de Buixalleu et Hostalric sont municipalités placées sur le cours de la Tordera à forte activité industrielle. La Cellera de Ter, Susqueda, Anglès qui se trouvent sur le cours du Ter, ont aussi une forte tradition industrielle.

Plus récemment, des polygones industriels se sont établis partout dans le territoire de la Selva. Une grande partie des industries localisées dans la région ont un caractère de service car il s’agit d’entrepôts de distribution de tous les produits consommés dans la zone, spécialement dans la zone maritime. Alimentation, produits ménagers, meubles, voitures et véhicules commerciaux, etc. trouvent souvent leur place dans ces polygones. Il y a aussi des véritables industries textiles, métallurgiques, etc. Finalement, certaines industries du lait et de la viande y sont présentes.

Souvent, la localisation des entreprises dans la plaine de la Selva est due à la facilité d’accès aux voies de communication, notamment l’autoroute AP7 qui traverse le pays de nord à sud et qui relie l’Espagne avec le reste d’Europe et maintenant l’aéroport de Vilobí/Girona. C’est l’industrie qui a renversé la tendance à la baisse de la population de mal de communes dans la décennie des 1970s. La construction de l’autoroute a ouvert le terrain à beaucoup d’entreprises qui cherchaient des espaces moins coûteux que ceux proches aux centres industriels de la banlieue de Barcelone. Aussi, certaines industries qui avaient besoin d’eau, souvent productrices de pollutions importantes, se sont installées le long des fleuves.

Les services :

De plus en plus, l’économie de la Selva devient une économie de services. L’hôtellerie, surtout dans la Selva maritime, à caractère touristique, mais aussi les services à la population (santé, écoles, supermarchés, etc.) se sont implantés dans la région qui a subit une importante croissance de la population, surtout à provenance des comarques voisines mais aussi d’autres régions espagnoles et, dans les dernières dix années, de tout le monde, avec prééminence de maghrébins, latino-américains et gents des pays de l’est de l’Europe et de l’Afrique noire.

Un hôpital comarcal publique se trouve à Blanes qui dessert non seulement une partie de la Selva mais aussi une partie de la comarca voisine du Maresme. Des Centres d’Attention Primaire se trouvent à la grande majorité de communes et aussi des centres à émergences nocturnes avec des services médicaux et d’ambulance. Des services de pompiers se trouvent à divers endroits et aussi des stations de police. Plusieurs établissements gériatriques se trouvent établis dans la zone et des centres de loisir pour le troisième age existent dans presque toutes les villes, même dans les plus petites. La plupart de communes ont des écoles publiques et des crèches publiques et privées, avec des services de transport écolier entre les centres de population dispersés (urbanitzacions) et les centres écoliers d’enseignement primaire ou secondaire. Beaucoup de communes se sont dotées de bibliothèques publiques et de centres civiques ou théatres et autres installations culturelles.

Le futur :

La comarca de la Selva est donc un territoire vertébré non seulement à cause de ses racines historiques et culturelles mais aussi par une tendance à la diversification de ses ressources économiques. Même avec son caractère rural, il y a profusion d’industries et services de toute sorte. Les voies de communication y sont bien présentes et configurent, en bonne partie, la distribution spatiale des centres industriels ainsi que de beaucoup de noyaux urbains qui ont servi comme seconde résidence mais qui, de plus en plus, hébergent de jeunes familles qui ont trouvé dans la région meilleurs emplois ou une meilleure qualité de vie que dans les grandes villes.

Si le bâtiment et, en général l’urbanisation, a donné a la région une grande activité et une croissance démographique importante, ainsi qu’un moyen de richesse aux petits propriétaires locaux, les zones rurales sont en train de subir une transformation irréversible car le nombre de personnes qui restent dans les activités agricoles décroît notablement en même temps que le prix des terres n’est plus marqué par leur utilité comme support à ces activités mais comme investissement pour des individus ou sociétés qui ne sont point intéressés à l’agriculture. Le prix des maisons de campagne (masies), soumises à une forte spéculation, marque le prix des terres, ce qui fait que l’acquisition de terres est presque impossible pour des nouveaux ruraux. Pour le moment, il y a un petit nombre, décroissant, d’exploitations à élevage qui utilisent la plupart des terres, même celles qui appartiennent à des propriétaires non agriculteurs, à cause de la législation locale, nationale ou communautaire qui oblige aux éleveurs de bétail à disperser les déchets (solides ou liquides) sur une superficie considérable.

Dans le futur, la seule possibilité de maintenir une certaine activité rurale, serait de faciliter l’établissement de néo ruraux qui aurait une diversité de sources de revenue et qui pourraient maintenir un certain degré d’activité parallèlement à d’autres activités dans l’industrie ou les services. Ce-ci, pour l’instant, est plutôt mal considéré tant par les agriculteurs traditionnels que par les autorités locales qui ne facilitent pas l’arrivée des subventions communautaires aux nouveaux venus.

Antoni Cruzado i Alorda
Veïnat del Pibitller

Maçanet de la Selva, 8 Mars 2009